La Muse Verte, Albert Maignan
Imagem daqui
Mon paletot aussi devenait idéal;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal;
Oh! là là! que d'amours splendides j'ai rêvées!
Mon unique culotte avait un large trou.
- Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course
Des rimes. Mon auberge était à la Grande Ourse.
- Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou
Et je les écoutais, assis au bord des routes,
Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes
De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;
Où, rimant au milieu des ombres fantastiques,
Comme des lyres, je tirais les élastiques
De mes souliers blessés, un pied près de mon coeur!
Arthur Rimbaud
2 comentários:
Amiga JJ,
Sinto falta das suas histórias contadas ao detalhe. Quando "espreito" o seu blogue,fico a pensar nas suas crónicas d viagens no comboio até Braga... fazem falta palavras escritas pelo seu punho neste cantinho.
Aguardamos!
Loo rock
Carlos,
Obrigada. :)))))))))))
Jinhos.
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